[entier] [Meurtre par bourrage de béton d'une lycéenne] Auteur B, la vérité derrière sa mort solitaire et toute l'histoire qui a mené à sa récidive

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Le « Meurtre de lycéennes bourrées de béton » a eu lieu en 1989. Qu’est-il arrivé à l’un des auteurs, le quasi-principal criminel B ? Le film explore la difficulté de se réinsérer dans la société en suivant le processus de sa récidive répétée après sa sortie de prison, jusqu'à sa mort seule.

[table des matières]


1. Aperçu de l'incident et de son impact sur la société
2. Antécédents de l'auteur B et actes criminels
3. La vie après la libération et les causes de la récidive
4. Délires et difficultés de rééducation
5. Obstacles à la réinsertion sociale
6. Améliorations des prisons et du soutien social

1. Aperçu de l'incident et de son impact sur la société


Le « meurtre d'une lycéenne bourrée de béton » survenu dans le quartier Adachi de Tokyo en mars 1989 est largement reconnu comme le crime juvénile le plus odieux de l'histoire du Japon. Dans cette affaire, une lycéenne de 17 ans a été brutalement kidnappée, séquestrée, agressée et violée pendant environ 40 jours, avant de perdre la vie. Les auteurs étaient des garçons âgés de 16 à 18 ans à l'époque et leurs actes brutaux ont choqué le Japon.

Après que l'incident a été découvert, il a déclenché un débat houleux sur la nature du droit des mineurs, et les appels à des sanctions plus sévères pour les crimes commis par des mineurs se sont multipliés. Beaucoup de gens s’intéressent encore à l’état d’esprit dans lequel se trouvaient les auteurs lorsqu’ils ont commis cet acte brutal et à ce qui s’est passé par la suite.

2. Antécédents de l'auteur B et actes criminels


L'auteur de l'incident, B, avait 17 ans au moment de l'incident et, avec le principal suspect A, il a commis ce crime odieux. B avait des problèmes à la maison, était victime d'intimidation à l'école et s'est progressivement tourné vers des groupes violents. L'éducation de B a été profondément influencée par sa relation éloignée avec sa mère et son père violent, ce qui aurait eu une grande influence sur le développement de sa personnalité.

Avant l'incident, B avait des problèmes avec un gang de motards et après avoir rencontré A, il a commencé à travailler avec lui. A utilise des moyens violents pour accroître son contrôle sur B, et B suit progressivement les instructions de A et devient complice d'actes délinquants. Puis, en novembre 1988, B et A ont provoqué un incident choquant au cours duquel ils ont kidnappé une lycéenne inconnue, l'ont agressée et lui ont finalement ôté la vie.

3. La vie après la libération et les causes de la récidive


B a été libéré de prison en 1999 et a d’abord tenté de se réinsérer dans la société pour éviter de récidiver. J'ai commencé à travailler comme informaticien temporaire et j'ai essayé de reconstruire ma vie. Cependant, B ne supporte pas d'entendre des rumeurs sur son incident de travail passé et quitte immédiatement son emploi. Après cela, j’ai de nouveau perdu contact avec la société et ma vie est devenue de plus en plus difficile.

Après avoir été libéré de prison, B approfondit ses liens avec des gangsters et retourne dans le monde du crime. En 2004, B a eu des problèmes à cause de son salaire impayé et est entré en contact avec un chef de gang. Il a ensuite récidivé et a été renvoyé en prison. On pense que la récidive de B était en grande partie due à son instabilité mentale due à sa longue période de détention et à ses difficultés de réinsertion dans la société.

4. Délires et difficultés de rééducation


L'un des principaux facteurs ayant causé la récidive de B était la « réaction de détention » en prison. En raison de la longue période de confinement, B est devenu mentalement instable et a développé de la paranoïa. Après avoir été libéré de prison, B a pensé qu'« il y avait une rumeur sur un incident de remplissage de béton au travail » et il est devenu obsédé par l'illusion qu'il était surveillé par les gens autour de lui. Ces délires l’ont poussé à se tourner à nouveau vers le crime.

Selon l'analyse d'un psychiatre, B avait initialement tendance au « trouble de la personnalité paranoïaque » et ses symptômes se sont aggravés pendant son incarcération. L'état mental de B, qui a conduit à sa récidive, a clairement entravé sa réadaptation et même lorsqu'il a tenté de réintégrer la société, ses délires sont devenus un obstacle et il a été incapable d'établir des relations de confiance avec son entourage.

5. Obstacles à la réinsertion sociale


Concernant la récidive de B, le plus gros problème était que le soutien à la réinsertion dans la société était insuffisant. Après avoir été libéré de prison, B a continué à vivre une vie solitaire sans recevoir aucun soutien psychologique. La relation de B avec sa famille ne s'est jamais améliorée et sa mère était largement impuissante face aux actions de B. L’une des raisons pour lesquelles B était incapable de se repentir de ses péchés et de s’intégrer dans la société était le manque de soutien de son entourage.

De plus, les regards froids auxquels B a fait face de la part de la société après sa sortie de prison ont approfondi son sentiment d’isolement. Il a été rejeté par ceux qui connaissaient son passé et il s'est de nouveau tourné vers le crime. Ces barrières sociales constituent un obstacle majeur à la réhabilitation et à la réintégration des criminels dans la société.

6. Améliorations des prisons et du soutien social


Le cas B illustre les limites de l’éducation correctionnelle en prison et l’importance du soutien social après la libération. Souvent, les prisons ne fournissent pas de soins psychologiques adéquats, et les délires et les troubles mentaux peuvent s'aggraver, comme dans le cas B. Par conséquent, afin de prévenir la récidive, il est nécessaire non seulement de suivre un traitement en prison, mais également de fournir un soutien continu après la libération.

Au Japon, un nouveau système de sanctions appelé « détention » devrait être introduit à partir de 2025. Ce système explore les moyens de prévenir la récidive en intégrant des soins de santé mentale. Afin de prévenir des cas comme B, un soutien plus généreux est nécessaire pour les détenus souhaitant se réinsérer dans la société. En tendant la main aux criminels, la société peut réduire le risque de récidive.

conclusion


Ce qui est arrivé à l'auteur B du meurtre concret d'une lycéenne est un cas qui nous fait réfléchir profondément sur la difficulté de réhabiliter les criminels et les défis de leur réinsertion dans la société. Les problèmes mentaux et l'isolement de la société étaient en grande partie responsables de la récidive de B.

Pour réussir sa réintégration dans la société, non seulement les efforts personnels de l'individu, mais également le soutien et la compréhension de son entourage sont essentiels. Ce cas nous rappelle l’importance de l’éducation correctionnelle dans les prisons et du soutien à la réinsertion sociale, et des mesures plus efficaces pour prévenir la récidive sont nécessaires.

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Écrivain ywVervetMonkey995

Rapport 【女子高生コンクリ詰め殺人】の加害者B 、孤独死の真相と再犯に至るまでの全貌

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