카자미씨 부부가 아이를 떠나보냈군요ㅠㅠㅠ
[toàn bộ] [Dernières nouvelles] Pourquoi l'accident de la fille de Shingo Kazami s'est-il produit ? Le coupable, le procès et la situation actuelle 18 ans plus tard
Kazami Shingo a perdu sa fille aînée, Emiru, élève de CM2, dans un accident de la route en 2007. Ce livre relate en détail ses sentiments et les faits qu'il ignorait jusqu'alors : la perte soudaine, les funérailles, le procès, la façon dont il a pris ses distances avec l'agresseur et le choix qu'il fait encore aujourd'hui, 18 ans plus tard, de « vivre avec son deuil ».
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table des matières
2. Les circonstances dans lesquelles l'accident s'est produit 3. Auteurs et réponses post-incident 4. Points clés du procès et décision 5. « Comment gérer la tristesse » de Kazami Shingo 6. Activités et messages en cours 7. Questions et réponses (Foire aux questions) |
1. La famille de Shingo Kazami et sa fille aînée, Emiru
Kazami Shingo formait une famille heureuse avec sa femme Akiko et leurs trois enfants. Parmi eux, sa fille aînée, Emiru, était considérée comme le pilier de la famille, dotée d'une personnalité rayonnante et bienveillante. Pourtant, le 17 janvier 2007, alors que leur matinée semblait se dérouler comme les autres, leur routine quotidienne bascula brutalement. Quelques minutes seulement après avoir pris leur petit-déjeuner et quitté la maison avec un sourire, ils dirent : « Je pars. »
2. Comment l'accident s'est-il produit ?
L'accident s'est produit à un passage piéton à Nakamachi, dans l'arrondissement de Setagaya à Tokyo. Emiru traversait la rue lorsque le feu était vert. Un gros camion tournant à droite s'est engagé dans l'intersection et l'a percuté. La route se situait dans une zone scolaire, fermée à la circulation pendant les heures de classe. La principale cause de l'accident est que le camion a pénétré dans une zone normalement interdite aux voitures. Après l'accident, les feux de circulation ont été modifiés afin de séparer les piétons et les véhicules, mais cette mesure est intervenue après le drame, ce qui explique pourquoi la famille endeuillée s'est interrogée : « Pourquoi cela n'a-t-il pas été fait avant ? »
3. L'auteur des faits et l'entreprise, ainsi que le contexte des rapports non divulgués
Le conducteur du camion était un employé de Kao Logistics, âgé de 22 ans à l'époque. Cependant, ni son identité ni le nom de l'entreprise n'ont été mentionnés dans les médias. Kao Logistics assurant la logistique de grandes entreprises et entretenant des relations de sponsoring avec elles, la diffusion d'informations aurait été strictement interdite. De plus, il a été révélé que le premier réflexe du conducteur après l'accident a été de « signaler l'incident à son entreprise » plutôt que d'appeler une ambulance, ce qui aurait provoqué une grande déception et de la colère chez la famille endeuillée.
4. Faits et décisions révélés lors du procès
L'auteur des faits a été inculpé de négligence professionnelle ayant entraîné la mort, et le tribunal a prononcé la sentence suivante :
| article | Contenu |
| frais | négligence professionnelle ayant entraîné la mort |
| Demande de phrase | 3 ans d'emprisonnement |
| jugement | Deux ans d'emprisonnement |
| appel |
Rejet de l'affaire et jugement définitif
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Pour la famille endeuillée, le procès n'était pas seulement l'occasion de faire éclater la vérité, mais aussi une période douloureuse où le souvenir de l'accident les hantait sans cesse. Interrogés en détail sur la vitesse, la visibilité et la distance de freinage au moment de l'accident, ils étaient constamment confrontés à une profonde souffrance.
5. Pourquoi j'ai décidé de ne pas rencontrer mon agresseur
Le couple Kazami a refusé de rencontrer l'agresseur, car ils craignaient que la haine ne les envahisse. S'ils croisaient son visage, son expression resterait à jamais gravée dans leur mémoire, et ils sentaient que la colère, plutôt que la tristesse, prendrait le dessus. Ils ont également refusé toute somme d'argent qu'il leur aurait offerte pour présenter leurs condoléances. Ils lui ont simplement dit : « Si vous souhaitez réparer votre erreur, faites un don aux causes qui vous tiennent à cœur. »
6. Le temps ne guérit pas les blessures, mais le choix est de « vivre ensemble ».
Même aujourd'hui, dix-huit ans après l'accident, Kazami confie qu'il lui arrive encore de fondre en larmes en pleine rue. « La tristesse est une émotion qu'on ne peut surmonter. Essayer de la surmonter ne fait que l'amplifier. C'est pourquoi j'ai décidé de vivre avec ma tristesse. »
Avec le temps, il accepte de plus en plus la réalité, mais le poids des vies perdues reste intact. Animé par cette tristesse, il continue de s'efforcer de sensibiliser le plus grand nombre à l'importance de la sécurité routière.
7. Questions et réponses (Foire aux questions)
Q1. Pourquoi n'avez-vous pas rencontré l'agresseur ?
J'avais le sentiment que si je revoyais le visage et l'expression de mon agresseur, ce souvenir resterait à jamais gravé dans ma mémoire et la haine envahirait ma vie. J'ai choisi de vivre dans la tristesse plutôt que dans la haine.
Q2. Avez-vous reçu de l'argent à titre de condoléances de la part de l'auteur des faits ?
Il a refusé et aurait déclaré : « Si vous souhaitez réparer vos torts, veuillez faire un don à l'endroit qui vous semble le plus approprié. »
Q3. Le site de l'accident a-t-il été amélioré depuis l'accident ?
Oui. Après l'accident, les feux de circulation ont été remplacés par des feux « piétons-véhicules séparés » qui séparent complètement les voies réservées aux piétons et aux véhicules.
Q4. Le temps a-t-il guéri votre tristesse ?
Elle explique qu'au lieu de « guérir », elle a « appris à vivre avec la tristesse ». La tristesse ne disparaît jamais, mais avec le temps, elle a appris à composer avec son poids.
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